Méditation du Dalaï-Lama sur la mort

A l'approche de la Toussaint, voici une méditation du Dalaï-Lama:

" Il est vrai que beaucoup d'entre nous répugnent à penser à leur propre mort. Nous passons la plus grande partie de notre vie à amasser des biens ou à faire d'innombrables projets, comme si nous allions vivre éternellement, comme s'il n'était pas certain que nous allions un jour, demain peut-être, ou même dans un instant, partir en laissant tout derrière".



365 méditations du Dalaï-Lama

Le conseil de Suzanne:




Bien souvent, le décès d'un proche, surtout dans des circonstances brutales et accidentelles, provoque, en plus du chagrin, un fort sentiment de culpabilité.
Le sentiment que l'histoire s'est arrêtée trop vite, et que l'on aurait dû faire plus prédomine, au point de ralentir le travail de deuil pour celui qui reste, et le travail de "montée des énergies" pour celui qui est parti.
Comme le Dalaï-Lama l'exprime très clairement, demain n'existe pas encore, et n'existera peut-être pas.
Il faut donc profiter pleinement ( = en pleine conscience) des moments passés avec nos proches, et dire ce que l'on a à dire. Après, c'est encore moins facile.
Le sentiment de culpabilité dans la médecine chinoise est "traité" par le Cœur-Cerveau. Les symptômes qui peuvent apparaître sont: troubles du sommeil, maux de tête, dépression, poids dans la poitrine, sensation d'oppression respiratoire, palpitations, intolérance à la chaleur, par perturbation du Yang.

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